Un stade Marien en folie pour l’apothéose...
Les Jaune et Bleu sont remontés à bloc pour arracher ce qu’il faut pour être définitivement dans le Top 8.
"Mais la question ne se pose pas : l’Antwerp ne sera pas champion chez nous car je vois mal Eupen perdre des plumes contre Geel."
"Mais la question ne se pose pas : l’Antwerp ne sera pas champion chez nous car je vois mal Eupen perdre des plumes contre Geel."
Circulez, il n’y a rien à voir si l’on en croit Marc Grosjean. Et pourtant, tous les atermoiements qui ont entouré la tenue de cet Union - Antwerp ont suscité la curiosité. Le stade sera en effet sold out à l’occasion de la dernière apparition des Jaune et Bleu au stade Marien avant longtemps. "Du jamais-vu depuis longtemps", reprend, enthousiaste, le coach à succès du matricule 10. "On fait ce métier pour connaître ce genre d’ambiance. Il y aura une atmosphère de dingue et je suis sûr que cela boostera mes joueurs. Non, notre priorité ne sera pas de battre le leader. Nous nous concentrerons sur cette qualification pour le Top 8 pour laquelle nous avons travaillé depuis tant de mois. Et si nous parvenons à nous imposer face au leader cela donnera une dimension supplémentaire à la performance."
Par ces propos, on comprend mieux pourquoi les Anversois ont confessé craindre ce déplacement dans la capitale, eux qui touchent du bout des doigts ce titre et cette accession à la Pro League après laquelle ils courent depuis tant de saisons. Pour se donner du courage, ils se souviendront de la victoire du match aller, à l’occasion duquel les Bruxellois avaient déçu. "Mes joueurs avaient, à ce moment-là, été impressionnés par le contexte. Ont-ils mûri ? Je le pense quand on voit la manière avec laquelle nous avons évolué contre le White Star il y a un mois. Ils ont pris de la bouteille et vont encore le prouver ce dimanche."
Un choc au sommet (devant les caméras de Proximus) que Grégoire Neels vivra peut-être dans la peau d’un titulaire comme la semaine dernière à Roulers quand il profita de la blessure de Vandiepenbeeck à l’échauffement. "J’avais été prévenu quelques minutes avant le match que je débuterais. Je me suis pas trop mal débrouillé, même si je manquais de rythme. Et si on fait appel à moi, je donnerai tout pour que nous parvenions à arracher le peu qu’il nous reste à prendre pour que notre qualification soit officielle. Et quand on voit d’où vient le club, on pourra dire que nous aurons signé un réel exploit."
Par ces propos, on comprend mieux pourquoi les Anversois ont confessé craindre ce déplacement dans la capitale, eux qui touchent du bout des doigts ce titre et cette accession à la Pro League après laquelle ils courent depuis tant de saisons. Pour se donner du courage, ils se souviendront de la victoire du match aller, à l’occasion duquel les Bruxellois avaient déçu. "Mes joueurs avaient, à ce moment-là, été impressionnés par le contexte. Ont-ils mûri ? Je le pense quand on voit la manière avec laquelle nous avons évolué contre le White Star il y a un mois. Ils ont pris de la bouteille et vont encore le prouver ce dimanche."
Un choc au sommet (devant les caméras de Proximus) que Grégoire Neels vivra peut-être dans la peau d’un titulaire comme la semaine dernière à Roulers quand il profita de la blessure de Vandiepenbeeck à l’échauffement. "J’avais été prévenu quelques minutes avant le match que je débuterais. Je me suis pas trop mal débrouillé, même si je manquais de rythme. Et si on fait appel à moi, je donnerai tout pour que nous parvenions à arracher le peu qu’il nous reste à prendre pour que notre qualification soit officielle. Et quand on voit d’où vient le club, on pourra dire que nous aurons signé un réel exploit."
Curieux de voir comment les autorités vont gérer la venue de milliers de Fans d'Anvers...
Bravo à l'Union,mais j'espère revoir très vite le matricule numéro 1 en JPL,il était temps et indispensable pour une métropole comme Anvers.
Bravo à l'Union,mais j'espère revoir très vite le matricule numéro 1 en JPL,il était temps et indispensable pour une métropole comme Anvers.