par Présentation de la Bosnie.
Dernière chance pour la Bosnie...
Distancés mais encore à portée de points des deux premières places, Miralem Pjanic et ses coéquipiers bosniens espèrent accrocher la Belgique d'Eden Hazard ce jeudi (20h45) au Stade Roi Baudouin et se relancer pour l'Euro.
Après un départ catastrophique (défaite à domicile face à Chypre, 1-2, première journée, puis 0-3 en Israël, quatrième journée), qui a coûté son poste à l’actuel entraîneur d’Evian Thonon-Gaillard, Safet Susic, la Bosnie-Herzégovine tente probablement sa dernière chance de qualification pour l’Euro 2016 ce jeudi soir à Bruxelles. Dans un stade à guichets fermés, les joueurs de « Mecha » Bazdarevic doivent confirmer la réussite historique de leur pays face aux Diables Rouges (3 victoires, un nul et une défaite). À l’aller déjà, à Zenica, Dzeko avait ouvert le score avant que les coéquipiers d’Eden Hazard n’obtiennent finalement le nul par Nainggolan (1-1 le 13 octobre 2014).
Bazdarevic : «Nous, outsiders ? Je crois qu'ils se trompent»
« La plupart des observateurs nous ont qualifiés d’outsiders mais je crois qu’ils se trompent, a quand même glissé mercredi le sélectionneur bosnien. La rencontre ne se jouera pas sur un exploit individuel mais sur la force collective et mentale. L’équipe qui en voudra le plus, qui mettra de l’impact, pourra s’imposer. J’espère qu’on leur posera des problèmes.»
On prête à Bazdarevic l’intention de démarrer en 4-2-3-1, avec Pjanic en soutien de Dzeko, dans l’attente que les Belges se livrent un peu plus. «On les a bien étudiés, annonce toutefois Marc Wilmots, le sélectionneur des Diables Rouges. Pjanic peut faire la décision sur coup de pied arrêtés, il a été très bien formé à l’OL par Juninho. Il ne faudra pas lui laisser d’espaces et ne pas commettre de fautes à l’approche de notre surface. Ils évoluent avec deux vrais six et nous devons donc jouer à trois au milieu. S’ils ont un problème, ils jouent long sur Dzeko qui est l’un des attaquants les plus performants de la tête en Europe. Visca et Lulic (les ailiers) exploitent bien aussi les deuxièmes ballons. Et ils participent aux projections vers l’avant quand cette équipe se retrouve à quatre ou cinq joueurs dans le dos de nos milieux ou de nos défenseurs.»
«On n'a pas peur mais on respecte beaucoup cette équipe belge.» (Miralem Pjanic)
Le match risque donc d’être particulièrement fermé mais l’enjeu ne peut que décupler l’intensité. «On n’est pas bien au classement (avant-derniers, à trois points des Belges, deuxièmes), reconnaît Miralem Pjanic. On s’attend à un match très compliqué mais complètement différent de l’aller. Il faudra être patient, reconstituer le bloc équipe, travailler pour son partenaire et réduire les espaces. On n’a pas peur mais on respecte beaucoup cette équipe belge. On va montrer qu’on est très motivés.»
De retour après son absence sur le terrain du Stade de France face aux Bleus (3-4, le 7 juin 2015,) et sa suspension au Pays de Galles (0-1, 12 juin 2015), le capitaine belge, Vincent Kompany, qui retrouvera son ex-copain de Manchester City, Edin Dzeko, prend visiblement très au sérieux ce rendez-vous international. «Viser la première place (détenue par le Pays de Galles actuellement) est encore notre objectif le plus réaliste, explique-t-il. Il n’y aura pas beaucoup de différences entre affronter la Bosnie et l’Espagne. Il ne faut pas aborder cette échéance d’une autre manière. C’est le type de match que les joueurs aiment disputer.»
Bazdarevic : «Nous, outsiders ? Je crois qu'ils se trompent»
« La plupart des observateurs nous ont qualifiés d’outsiders mais je crois qu’ils se trompent, a quand même glissé mercredi le sélectionneur bosnien. La rencontre ne se jouera pas sur un exploit individuel mais sur la force collective et mentale. L’équipe qui en voudra le plus, qui mettra de l’impact, pourra s’imposer. J’espère qu’on leur posera des problèmes.»
On prête à Bazdarevic l’intention de démarrer en 4-2-3-1, avec Pjanic en soutien de Dzeko, dans l’attente que les Belges se livrent un peu plus. «On les a bien étudiés, annonce toutefois Marc Wilmots, le sélectionneur des Diables Rouges. Pjanic peut faire la décision sur coup de pied arrêtés, il a été très bien formé à l’OL par Juninho. Il ne faudra pas lui laisser d’espaces et ne pas commettre de fautes à l’approche de notre surface. Ils évoluent avec deux vrais six et nous devons donc jouer à trois au milieu. S’ils ont un problème, ils jouent long sur Dzeko qui est l’un des attaquants les plus performants de la tête en Europe. Visca et Lulic (les ailiers) exploitent bien aussi les deuxièmes ballons. Et ils participent aux projections vers l’avant quand cette équipe se retrouve à quatre ou cinq joueurs dans le dos de nos milieux ou de nos défenseurs.»
«On n'a pas peur mais on respecte beaucoup cette équipe belge.» (Miralem Pjanic)
Le match risque donc d’être particulièrement fermé mais l’enjeu ne peut que décupler l’intensité. «On n’est pas bien au classement (avant-derniers, à trois points des Belges, deuxièmes), reconnaît Miralem Pjanic. On s’attend à un match très compliqué mais complètement différent de l’aller. Il faudra être patient, reconstituer le bloc équipe, travailler pour son partenaire et réduire les espaces. On n’a pas peur mais on respecte beaucoup cette équipe belge. On va montrer qu’on est très motivés.»
De retour après son absence sur le terrain du Stade de France face aux Bleus (3-4, le 7 juin 2015,) et sa suspension au Pays de Galles (0-1, 12 juin 2015), le capitaine belge, Vincent Kompany, qui retrouvera son ex-copain de Manchester City, Edin Dzeko, prend visiblement très au sérieux ce rendez-vous international. «Viser la première place (détenue par le Pays de Galles actuellement) est encore notre objectif le plus réaliste, explique-t-il. Il n’y aura pas beaucoup de différences entre affronter la Bosnie et l’Espagne. Il ne faut pas aborder cette échéance d’une autre manière. C’est le type de match que les joueurs aiment disputer.»
Dernière édition par Loupnoir le Jeu 3 Sep - 22:01, édité 1 fois
