Witsel: "Je ne veux pas devenir coach mais chef d’entreprise"
Axel Witsel a investi dans la société aéronautique Lindsky, dont il va participer à la gestion. Il évoque, en exclusivité pour nos confrères de la DH , ses investissements et son après-carrière.
Voici déjà un peu plus d’un an, dans le courant de décembre 2014, Axel a pris une participation dans la société aéronautique LindSky Aviation, une entreprise belge en pleine croissance et aux reins solides sur le plan financier.
Witsel avait déjà créé une école de football et investi dans l’immobilier. "Assez tôt, j’ai pensé à investir. Je ne suis pas quelqu’un de bling-bling. J’ai les pieds sur terre et je sais d’où je viens : il ne faut pas flamber son argent" , nous confie-t-il .
Cette fois, c’est un investissement particulier : en plus de devenir co-propriétaire de la société, le Diable en intègre la gestion, dans le poste de Chief Relationship Officer . Nous l’avons rencontré à l’aéroport d’Anvers pour qu’il nous explique son regard sur sa reconversion et ses investissements.
Axel, en quoi consiste votre rôle au sein de la société LindSky ?
"Dans le monde du football, je connais pas mal de monde qui voyagent beaucoup, ainsi que des gens qui pourraient investir dans l’aviation. Je servirai de relais. J’entame cette fonction et je débute mon apprentissage dès maintenant, mais je reste avant tout un joueur de foot professionnel. J’espère jouer le plus longtemps possible. Peut-être jusqu’à 35 ans. Cela me laisse le temps d’apprendre. Après, je pourrai me consacrer à 100 % au monde de l’entreprise."
Pourquoi voulez-vous devenir dirigeant d’entreprise ?
"C’était important aussi de penser à mon après-carrière. On connaît tous des histoires de footballeurs qui ont gagné plein d’argent pendant leur carrière et qui, à la fin, n’ont plus rien… J’essaie donc de bien investir."
Voici déjà un peu plus d’un an, dans le courant de décembre 2014, Axel a pris une participation dans la société aéronautique LindSky Aviation, une entreprise belge en pleine croissance et aux reins solides sur le plan financier.
Witsel avait déjà créé une école de football et investi dans l’immobilier. "Assez tôt, j’ai pensé à investir. Je ne suis pas quelqu’un de bling-bling. J’ai les pieds sur terre et je sais d’où je viens : il ne faut pas flamber son argent" , nous confie-t-il .
Cette fois, c’est un investissement particulier : en plus de devenir co-propriétaire de la société, le Diable en intègre la gestion, dans le poste de Chief Relationship Officer . Nous l’avons rencontré à l’aéroport d’Anvers pour qu’il nous explique son regard sur sa reconversion et ses investissements.
Axel, en quoi consiste votre rôle au sein de la société LindSky ?
"Dans le monde du football, je connais pas mal de monde qui voyagent beaucoup, ainsi que des gens qui pourraient investir dans l’aviation. Je servirai de relais. J’entame cette fonction et je débute mon apprentissage dès maintenant, mais je reste avant tout un joueur de foot professionnel. J’espère jouer le plus longtemps possible. Peut-être jusqu’à 35 ans. Cela me laisse le temps d’apprendre. Après, je pourrai me consacrer à 100 % au monde de l’entreprise."
Pourquoi voulez-vous devenir dirigeant d’entreprise ?
"C’était important aussi de penser à mon après-carrière. On connaît tous des histoires de footballeurs qui ont gagné plein d’argent pendant leur carrière et qui, à la fin, n’ont plus rien… J’essaie donc de bien investir."
Extraits de l'interview à l'Avenir.